Les progrès de l’éthologie, du comportementalisme et de la connaissance de la souffrance animale ne laissent plus la place au doute : quelles que soient les négationnismes dont peuvent faire preuve les taurins, la  corrida est une des pratiques les plus cruelles qui soient.
Dernier vestige d’une époque révolue où l’homme souhaitait prouver sa « supériorité » sur un animal qui le dépasse de beaucoup en puissance, la corrida n’existait que pour satisfaire un instinct malsain de domination de l’homme sur l’animal.
Aujourd’hui les valeurs ont changé, et il n’est plus de mise de détruire pour sacraliser ou sanctifier. Les hommes recherchent aujourd’hui bien-être et harmonie.
Il existe des milliers de façons de se distraire, de faire partie d’un groupe ou d’affirmer son identité. Quel besoin avons-nous de faire souffrir les animaux pour le plaisir ?
C’est un archaïsme et une régression éthique et scientifique de s’accrocher à cette pratique sous prétexte de « tradition ». Des traditions comme cela, on n’en veut pas.

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