Selon le Le Boston Globe du 26 mai 2013, seulement 8,5 % des espagnols assistent aux corridas.

Cet article du Boston Globe parle du déclin de la popularité de la corrida en Espagne et décrit les pulsions qui poussent le public à se rendre aux arènes.

“Comme les combats d’ours, de chiens et les combats de coqs, la corrida attire ceux qui prennent plaisir à brutaliser des animaux et à les forcer à une mort douloureuse, sanglante et violente“.

On peut y lire aussi aussi qu’Ernest Hemingway reconnaissait honnêtement dans son livre “Death in the afternoon” que la clef de la fascination de la corrida était “la vraie jouissance de l’acte de tuer”. Tout est dit… Nous sommes bien loin des justifications artistiques, philosophiques et métaphysiques esthétisantes des aficionados…